Chapitre L : De DEMOCRITUS et HERACLITUS

Intro :
1) Contexte et Auteur :

Auteur du 16ème (siècle des guerres de religion), Montaigne est un auteur humaniste. Famille : noblesse de robe ; parlementaire (important lorsqu’il parle des «charges qui incombent aux personnes bien nées, cf : lui même…) Mort de son père + ami Estienne de La boétie : Se retire de la vie active (n’exerce plus sa charge de parlmentaire), publie Estienne De la Boetie et se retire dans son domaine, vide de toute activité sinon sa bibliothèque (37ans)

2) Œuvre :

A cette periode il commence les Essais (invente le genre : recueil de réflexions philosophiques ou sur la morale sur des thèmes variés) 3editions (1580/1588 puis posthume par sa famille en 95) => revient sans cesse sur son ouvrage.

3) Situation du chapitre :

A la fin, pourtant pas l’impression d’une conclusion (les Essais invitent à traiter toujours de nouveaux sujets) Ici, M. s’intéresse au jugement Ce chap concerne Democrite et Héraclite (philosophes grecs) : D. considère la condition humine comme ridicule # H. éprouve de la compassion pour la condition humaine. Pour une fois M. prend parti (est d’accord avec D., car selon lui la condition humaine n’est pas assez grande pour mériter qu’on s’attriste sur son sort -> il vaut mieux en rire…) Cpt, les deux pages de cet extrait ne sont pas directement liées au chapitre : Montaigne ecrit au fil de ses pensées, propre à l’Essai, donc fait quelques disgressions… PB : quelle est la vision du jugement chez Montaigne?

Plan :

I. L’homme ne possède pas que des grandeurs mais également des faiblesses. Pour le juger correctement il faut le prendre en compte. (refus des apparences et de la vanité…)
II. Modèle esthétique de l’écriture des Essais…

I. L’homme ne possède pas que des grandeurs. a. Relativiser la grandeur

L. 44 : antithèse avec // (selon elle # selon soi)> // parfait car 3ème personne du sg. Mais dif car « elle » est ext. Et « soi