Je vais vous analysé un extrait du roman de Pierre Loti, « Pêcheur d'Islande » . Il a écrit ce texte en 1886. Il fait référence dans ce Roman aux pêcheurs Bretons mais principalement à la mer qu'ils devaient surmonté à toute heure lorsqu'ils devaient partir en mer durant de long mois dans les eaux du Nord .Cet extrait se trouve dans le chapitre 1 de ce livre .Cet extrait est composé de la description d'une tempête ou ce trouve des pêcheurs, nous avons aucune indication sur eux . Cette tempête apparaît comme très violente. C'est donc ce point qui nous intéresse, nous étudierons les façons que l'auteur utilise pour nous faire pare de la dureté de cette tempête. Enfin nous regarderons quel sens l'auteur arrive à nous mettre en alerte.

Tout d'abord , cette tempête que l'auteur nous fait vivre paraît rude aux travers de l'utilisation des techniques d'écriture qu'il fait . Durant l'extrait on remarque que les métaphores sont présentes dans son récit .Il s'en sert pour comparé certains éléments de cette violente tempête à différentes choses , comme le vent qu'il compare à des sons humain en parlant de voix « ...on y distinguait des miliers de voix ; d'en haut ... » Il les décrit même plus précisément « … il en venait de sifflantes ou de profondes, qui semblaient presque lointaines à forces d'êtres immenses : cela c'était le vent, ... ». Il précise ensuite l'état de la mer en la faisant passée pour un être vivant « ...la mer commençait à les couvrir, à les manger, commes ils disaient :... » , il donne cette indication à travers un discours rapporé car on remarque qu'il est inscrit « … comme ils disaient ... », ici il rapporte donc ce que disaient les pêcheurs . Un autre point montre qu'il prends la mer pour un être viant lorsqu'il nous désigne l'écume sur le pont de la Marie et sur l'eau il la compare à de la bave « Maintenant on ne distinguait plus rien, à cause de cette bave blanche , éparpillée... ». Il montre aussi une partie de la fureur de la tempête en