Commentaire les ouvriers du textile
La vie hors de l'usine est compliquée, les logements sont malsains, beaucoup d'ouvriers vivent dans des caves et des greniers aménagés sommairement qui sont souvent source de maladies comme le choléra ou la tuberculose. Ces ouvriers vivent dans des conditions déplorable: ils peuplent les rues étroites de la ville, entassés par familles de cinq à six personnes(Père, mère, vieillards, enfants, adultes, s’y entassent) dans une chambre au rez-de-chaussée, humide, mal éclairée, mal aérée, ou bien dans «des espèces de greniers trop froids pendant l’hiver, et surtout trop chauds pendant l’été. De plus l'hygiène est quasiment inexistant pour ces famille,là saleté règne dans ces logements. De plus ces ouvriers ne s'alimentent pas correctement ils se nourrissent surtout de pommes de terre, de quelques légumes, de soupe maigre, de charcuterie. «Ils ne mangent ordinairement qu’un seul de ces aliments avec leur pain. L’eau est leur unique boisson pendant les repas. Face à cette misère et cette précarité les ouvriers s'enfoncent dans les quartiers Etaques où l'ivrognerie,la débauche et la prostitution ainsi que la criminalité règnent et où nos ouvriers viennent pour oublier leurs problèmes le temps d'une courte nuit,allant de cabaret en cabaret.
c. des conditions dénoncés par certains organisme mise en place
A partir de 1864, les ouvriers sont défendus, et protégés par la coopérative de l'Union de Lille et surtout par les syndicats. L'Union de Lille qui fut créée dans les années 1890 par les organisations syndicales et politiques de la classe ouvrière pour réagir à la misère ouvrière alors à son plus haut degré. L'Union était destinée à accueillir et valoriser les réseaux de sociabilité ouvrière. En 1897, la coopérative lilloise comptait 4053 adhérents. Les bénéfices de la coopérative alimentaient les caisses du parti ouvrier et du syndicat. C'est de cette façon que sera financée la construction des