commentaire , dissertation
Et toujours, maternelle endormeuse des râles, Même quand elle ment, cette voix ! Matinal Appel, ou chant bien doux à vêpre, ou frais signal, Ou beau sanglot qui va mourir au pli des châles !…
Hommes durs ! Vie atroce et laide d’ici-bas ! Ah ! que du moins, loin des baisers et des combats, Quelque chose demeure un peu sur la montagne,
Quelque chose du cœur enfantin et subtil, Bonté, respect ! Car, qu’est-ce qui nous accompagne, Et vraiment, quand la mort viendra, que reste-t-il ?
19eme charle baudlaire fleur du mal 1857
: Je suis belle, ô mortels ! comme un rêve de pierre, Et mon sein, où chacun s’est meurtri tour à tour, Est fait pour inspirer au poète un amour Eternel et muet ainsi que la matière.
Je trône dans l’azur comme un sphinx incompris ; J’unis un coeur de neige à la blancheur des cygnes ; Je hais le mouvement qui déplace les lignes, Et jamais je ne pleure et jamais je ne ris.
Les poètes, devant mes grandes attitudes, Que j’ai l’air d’emprunter aux plus fiers monuments, Consumeront leurs jours en d’austères études ;
Car j’ai pour fasciner ces dociles amants, De purs miroirs qui font toutes choses plus belles : Mes yeux, mes larges yeux aux clartés éternelles !
21eme :clhoe douglas 2010
A jamais, le sourire osé, rayonne devant. A jamais, pour atteindre tes yeux d’eau profonde.
A jamais, Les douces cordes flottent devant, pour atteindre mes oreilles ouvertes.
A jamais, L’esprit concentré sur le corps fait de bois. Savoir à jamais, ton âme, écouter.
A jamais, La pièce se remplit de mélodies. A jamais, le recueillement de signes anciens à la lueur d’une simple bougie
20eme charle gill premiere amour : Printemps, que me veux-tu ? pourquoi ce doux sourire, Ces fleurs