Commentaire de texte
II- Les femmes sacrifient leur vie
I- Une nouvelle religion
Selon Jacques Delors ; la société de consommation a privilégié l'avoir au détriment de l'être. Nous vivons dans une société où la quête de chaque individu est de briller , dans une société où l'avoir compte plus que l'être. Dans cet extrait du Bonheur des dames d'Emile Zola, l'auteur cherche à nous montrer que les grandes inventions et découvertes du 19ème siècle ont prit une place beaucoup trop importante dans la vie quotidienne. Il nous présente le grand magasin comme une gargantuesque machine balayant tout ce qui est devant elle ; petit commerce, clients et articles . A travers son texte, Zola parvient à nous transmettre son point de vu contre la société de consommation. Ainsi nous nous demanderons en quoi le concept du magasin monopolise t-il la vie des femmes? Dans un premier temps nous évoquerons l'idée que les parisiennes sacrifient leur familles , professions et occupations pour dilapider leurs économies et leurs temps dans ce grand magasin puis dans un deuxième temps nous étudierons les effets néfaste et vicieux de ces nouvelles églises du commerce moderne dédiée à la gente féminine.
En effet, on observe essentiellement à travers ce texte d'Emile Zola que le grand magasin Au bonheur des dames s'approprie la vie des parisiennes. Celui ci est omniprésent dans tous les domaines, que se soit professionnel, religieux ou familial. De plus, les images poétiques notamment les hyperboles et les métaphores donnent une apparence de force et de puissance au magasin ce qui renforce notre idée. De nos jours la consommation c'est la nouvelle religion du XXIème siècle. D'immenses églises de la consommation ne cessent de se multiplier partout dans le monde. Ces églises autrement appeler supermarché ou centre commerciaux , ils arborent de plus en plus nos rues. Les publicités nous matraquent et ne laisse plus le choix de regarder ce