Commentaire de texte - rousseau, du contrat social
JJ Rousseau, Le contrat social, livres 2 et 3 (extraits)
Philosophe des Lumières, ne a Genève a 1712
Célèbre notamment pour ses 2 ouvrages sociaux majeurs
Dicours sur l’origine et les fondements de inegalites parmi les hommes (1753)
Et Du contrat social (1762)
Le document un est un extrait de ce dernier, extrait qui concerne la souveraineté.
L’ETAT IDÉAL DE ROUSSEAU
Dans le contrat social, Rousseau fait une descrption de l’état tel qu’il devrait etre et en parallèle il critique l’état tel qu’il est, dans lequel le peuple qui devrait etre souverain, est selon lui « asservi » et refuse sa souveraineté.
Partie 1 Définition de Rousseau de la souveraineté et du souverain.
Rousseau définit dans les chapitre 1 et 2, la souveraineté comme attribut du peuple et de lui seul. Il la définit aussi comme inaliénable. On ne peut retirer au peuple sa souveraineté NI l’exercer a sa place. L’exercice de la souveraineté populaire ne se traduit pas par un pouvoir politique seulement accessible au peuple tout entier mais passe par l’expression de sa volonté : « La pouvoir peut bien se transmettre, mais non pas la volonté. »
Il la définit également comme indivisible, devant etre une volonté qui émane du peuple entier, ou NE doit PAS s’exprimer. La volonté d’une partie seule du peuple n’est pas volonté souveraine mais volonté particulière. Seule la volonté générale « est acte de souveraineté et fait loi. »
Dans le chapitre 12, il définit également le souverain, comme celui dont le seul pouvoir est de faire/écrire la loi, mais a qui ce pouvoir reveint tout entier. Le souverain a donc un role législatif, qu’il ne doit exercer qu’en présence du « peuple assemblé »
Partie 2 La critique de la notion de représentant.
Pour Rousseau, le peuple est l’unique souverain et sa souveraineté se place au dessus de tout dans la Nation. C’est a lui que revient d’exprimer sa volonté car il juge que la volonté d’un représentant peut