En 1999, Jean Echenoz écrit « je m’en vais » : il joue sur les formes du roman d’aventure et du roman policier pour en faire un roman contemporain qui raconte le voyage difficile vers un trésor caché. On peut donc se demander comment Echenoz arrive à n’avoir aucun héro dans son texte.
Nous verrons tout d’abord les difficultés rencontré lors du voyage. Nous montrerons ensuite que c’est un texte descriptif. Puis nous étudierons l’homme face à la nature.

Les mésaventures d’une expédition dans un froid glacial avec des attaques d’insectes et la désobéissance et les conflits entre animaux. Tout d’abord nous pouvons voir que le voyage se fait dans un froid glacial. En effet, nous voyons le champ lexical du froid : « glace neigeuse », « solidifier », « gelées ». De plus, la température est si basse que les paroles se gélifient et fondent au touchées : « Elles restaient un instant gelées au milieu de l’air, il suffisait de tendre ensuite une main pour qu’y retombe, en vrac, des mots qui venaient doucement fondre. » Ensuite, Félix Ferrer et les guides se font attaqués par des insectes. Il y avait une quantité énorme de moustiques qu’ils voyaient d’une couleur obscure : «Voltigeant devant l’objectif, eussent obscurci la vue. » De plus, ils attaquaient par groupes : « Attaquant par dizaines au mètres cube. » Enfin, nous pouvons voir la désobéissance des animaux. En effet les chiens n’attendent pas leur maitre lors de sa chute, ils continuent à avancer sans savoir où aller : « Mais au lieu de s’arrêter, les animaux se croyant libres détalèrent à toute allure et dans plusieurs directions a la fois. » De surcroît, les chiens provoquent des conflits. Les bêtes se mordent entre eux : « Mordant son voisin, qui en mordit un suivant, qui en mordit deux autres. » Tout au long de se premier point, nous avons donc vu que le périple est difficile.

En deuxième partie nous allons voir que c’est un texte qui décrit le paysage et la faune. On remarque tout d’abord qui