Commentaire composée scène 1 - l'atelier - jean-claude grumberg
Le spectateur et le lecteur sont en découverte de la pièce, ils sont dans une attente mais le lecteurs a l’avantages des didascalie, d’où la nécessiter d’un bon fonctionnement de la scène d’exposition.
I) efficacité de l’ouverture : On a un jeu de devinettes avec des conversation à caractères allusif, on a seulement des morceaux d’infos, des non-dits, de l’implicite, des sujets taboux.
La valeur informative : cadre spatiaux temporel : 1943-1945 en zone libre après la guerre. Un matin très tôt. Le lieu : un atelier de couture (vocabulaire de la couture lignes 30-35-50) ce qui défini un cadre et une atmosphère de travaille.
Les personnages : ils sont nombreux pour une scène d’ouverture, on doit prendre en compte les présents et les absents : les deux enfants, la sœur et le mari de Simone. Le spectateur ne connaît pas tout les prénoms. Les personnages présents ne sont pas individualisé c’est à travers leurs paroles que se dessine les absents, il y a une insistance sur l’absence, la présence des absents.
L’intrigue ou l’action : on a peut d’indices, on sait juste que Simone est nouvelle c’est l’élément perturbateur. Il y a un travail sur la mémoire et le poids de l’histoire ; « Ils l’ont prise » idée d’une capture pour ne pas dire déportés, arrêté. Simone utilise le futur tandis que Hélène utilise le passé. Elles sont toutes les deux dans une situation d’attente, Hélène a une lucidité que n’a pas Simone, Simone n’accepte pas que son mari soit parti. La pièce va se construire autour de l’illusion du