Commentaire composé quatrevingt-treize de victor hugo
Dans un extrait de roman, le narrateur nous décrit une scène qui se passe sur un navire qui mène le marquis de Lantenac de l’Angleterre vers le nord de la France. Cette scène est décrite d’un point de vue superficiel, objectif, opéré de l’extérieur, ce qui laisse le lecteur dans une réflexion curieusement inattendue pour garder le suspens dans le déroulement de texte et tout au long de l’histoire. L’auteur réduit la réalité aux apparences extérieurs et c’est ce qu’on peut remarquer dans les descriptions faites sur le marquis déguisé en paysan « Ces anciennes vestes bretonnes étaient à deux fins, servaient aux jours de fête comme aux jours de travail (…) Il portait ce chapeau ras baissé à la paysanne, sans ganse ni cocarde. » Et de ce qui est de la description de la physionomie de marquis, l’auteur reste impartial, ce qui fait que le narrateur ignore les sentiments et les intentions de marquis Lantenac ou des autres personnages et se prive des réflexions, mais tout de même en donnant une impression sur le marquis au moment de son embarquement sur le navire « …qui avait tout l'air d'entrer dans une aventure » en plus de tout l’auteur utilise l’imparfait comme temps des verbes (devinait, paraissait, tirait…etc.) et différent champs lexicaux (vêtement : manteau, bottes, veste ,…etc.), ce qui nous pousse à retenir que tout au long de l’extrait la focalisation externe domine largement.
Ce point de vue externe c’est la « Vision du dehors », il éveille la curiosité de lecteur et suscite en