Commentaire composé. fin de l'école des femmes.
Sébastien 2nde1
Francais
Au 17 ème siècle le pouvoir royal est à son apogée, ce qui n'empêche pas l'apparition d'un nouveau genre, le classicisme. Au début de ce mouvement littéraire, en 1662 précisément, Jean-Baptiste Poquelin, aussi appelé Molière écrit L'école des femmes. La scène 9 de l'acte V est la fin de ce récit et nous montre le dénouement de l'histoire. Nous y apprenons qu' Arnolphe se fait piéger puisque Agnès est révélée comme étant la fille d'Enrique et donc la promise à Horace. Horace deviendra le plus joyeux des hommes tandis qu'Arnolphe s'en ira, dépité. Comment Molière mettra en scène un dénouement inattendu tout en écrivant une pièce de théâtre instructive ? Le double dénouement auquel nous serons confronté nous permettra de comprendre la morale de l'histoire, et par-delà cette morale, le théâtre de Molière.
Le double dénouement de cette pièce nous montrera que les dénouements sont emboîtés les uns dans les autres et que ceux-ci sont, pour certains des révélations, tandis que ce sont des surprises pour les autres. Les deux dénouements de cette fin de pièce sont emboîtés l'un dans l'autre. En effet nous apprenons par Oronte qu'Agnès est en réalité la fille d'Enrique: « La fille qu'autrefois de l'aimable angélique / Sous des liens secret eu le seigneur Enrique ». Cette annonce est destiné à Arnolphe qui s'apprêtait à conduire Agnès au couvent. Ce denier est donc en état de choc et ne sait plus que dire : « Quoi?... ». Mais dans ce premier dénouement s'imbrique un autre dénouement. Nous apprenons peu après que c'est à Agnès qu'Oronte voulait marier son fils, Horace.
En effet Agnès, nous l'apprenons grâce au premier dénouement, est la fille d'Enrique. Ce deuxième dénouement nous fait donc comprendre que la femme à laquelle Oronte voulait marier son fils est la même que celle qu'aimait Horace: Agnès. Horace le comprend vite et laisse donc