En France, les machines robotisées s’installent progressivement dans les usines française et devinent le quotidien de million de français, et de millions d’humain dans le monde (machine fabriquant les voitures Renault ou encore les caisses automatisées dans les grandes surfaces). D’un coté, cela facilite la vie pour les utilisateurs, consommateurs de ce produit, pour les caisses, le scan automatisé fait gagner du temps et de l’autonomie, pour les constructeur d’automobile, de l’argent et une rapidité de création mais d’un autre coté, ça réduit le nombre d’employé, pouvant amener à des grèves générale, et une augmentation du chômage, l’appauvrissement d’une population, les obligeant à trouver de nouveaux travaille ou de ne plus en avoir. Nous pouvons donc nous demander : « L’Homme doit il craindre que les machines travaillent pour lui ? ». Ce sujet est complexe dans la mesure où par définition, il confronte l’Homme à sa création, « les machines » qui devient « une crainte ».
Machine : Du grec, mèchané, « ruse ». Traditionnellement la machine est considérée comme une ruse contre la nature. Elle sert de modèle à la science et notamment à la physique, la nature entière peut ainsi être considérée comme une machine dont il s'agit de percer les rouages.
Crainte : La peur est une émotion ressentie généralement en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. En d'autres termes, la peur est la capacité de reconnaître le danger.
Suite à cette analyse, on en déduit que le sujet veut nous faire réfléchir sur l’avancé technologique et les contraintes que celle-ci impose par sa création, à la crainte que l’avancement amène ainsi que la possibilité que ce que l’on créer peut aussi nous remplacer. En effet, un problème se dégage : L’Homme doit il craindre que l’une de ses création ait la possibilité de substitué sa place dans la Société? Ainsi une contradiction se fait : Comment peut on envier le futur, l’avancement technologique, sachant que