La vaccination est-elle un moyen efficace de se protéger d’une maladie?
Partie 1
Dans la société actuelle, la science peut être associée à la majorité des domaines. En effet, les connaissances scientifiques acquises à travers les années sont utilisées partout, et particulièrement dans le domaine de la santé. Par exemple, que ce soit à l’échelle mondiale ou locale, la vaccination est un processus utilisé, en autre, pour éviter la propagation d’une maladie ou d’un virus. Le vaccin se base sur le principe que le corps humain possède une «mémoire de l’infection». Les cellules chargés de détruire les bactéries ou les virus dans le sang se nomment les lymphocytes B. Les lymphocytes B produisent des anticorps capables de reconnaitre des molécules spécifiques à l’agent pathogène (le corps étranger) afin de détruire le détruire. Ces molécules sont appelées les antigènes. Lorsque le contact entre les anticorps et les antigènes se produit, les lymphocytes B se divisent en deux sous-groupes, les effecteurs et les lymphocytes B mémoire. Dans le cas de la vaccination, ce sont ces derniers qui nous intéressent. Les lymphocytes B mémoire serviront à la reproduction des mêmes anticorps si advenait le cas qu’un pathogène identique se retrouve à nouveau dans l’organisme, et donc à éliminer celui-ci plus rapidement et efficacement. Lorsqu’un vaccin est administré, on injecte dans le sang un antigène spécifique au type de virus ou de bactérie dont on veut protéger le corps. Cependant, cet antigène est dénué de tout danger pathogène, il est donc inoffensif pour le patient. Même si l’injection est inoffensive, le système immunitaire réagira et il en résultera, comme mentionné plus tôt, des cellules B mémoire qui protégeront pour une période de temps donnée le corps contre le virus ou la bactérie en question.

Lymphocytes B (http://www.linternaute.com/sante/magazine/dossier/les-cellules-defenseuses-de-notre-organisme/les-lymphocytes-b-une-machine-a-anticorps.shtml)

Partie 2
Bien