Charles de gaulle
RONZO Gianmarco, FRIEDLING Pia, ISRAEL COLLIER Chloé
Question 1 :
Le document est une affiche politique de mai 1968 où est représentée une caricature de de Gaulle et de la manière dont il gouverne, sa politique. On voit un poing levé brandissant un objet ressemblant à un bâton ou une cravache. Le bras ressemble également à la tête de de Gaulle caricaturé avec le bras sortant de son chapeau. Au dessus se trouve un message écrit en majuscule et en gras : « L’Etat c’est moi. ». Par cette affiche, on a une impression de force qu’on retrouve par une certaine personnification de l’Etat puisque de Gaulle semble en être la parfaite représentation. C’est lui qui gouverne, prend les décisions, qui rétablit l’ordre. Mais c’est aussi lui qui est l’image de l’Etat. Les mots qui nous viennent lorsqu’on regarde cette affiche pourrait être : ordre, pouvoir, redressement, singularisme, détermination, fierté.
Or dans le deuxième document qui est la 1ere de couverture, on voit clairement de Gaulle debout, se tenant droit. On dénote une évolution entre les deux documents puisque dans ce dernier, l’autorité de de Gaulle semble véritablement établie contrairement au premier document qui semblait plus être l’objet d’une campagne, malgré sa date. C’est comme s’il fallait encore prouver des choses dans le premier alors que dans le deuxième, sa grandeur semble établie, acquise, indiscutable, elle est plus prise au sérieux.
Question 2 :
(page 4)
- Hippolyte Taine est un philosophe, historien et critique français du 19e siècle.
- Il définit l’écriture de l’histoire comme un juste milieu à trouver entre « art » et « science ». En effet, l’écrivain lorsqu’il écrit des mémoires doit faire preuve d’inspiration mais aussi de réflexion selon lui. Il faut que l’écriture soit vivante, exacte, précise comme l’histoire naturelle l’est elle-même. Il faut une sorte de retranscription de cette dernière. Tout se joue dans le