Pauvreté, précarité, exclusion.
Définitions
La pauvreté (provenant du conseil européen) : Des personnes vivent dans des situations de la pauvreté si leurs revenus et leurs ressources (matériel, culturel et social) sont à ce point insuffisant quelles empêchent d’avoir des conditions de vie considéré comme acceptable dans le pays membre ou ils vivent.
En France on distingue 3 types d’indicateurs pour mesurer la pauvreté :
Indicateur monétaire : niveau de vie qui est inférieur à un montant donné = seuil de pauvreté
Indicateur sur les conditions de vie : on mesure l’absence ou la difficulté d’accès à des biens ordinaires ou de consommation de base.
Indicateur mesuré par les minimas sociaux : qui identifie comme pauvre les personnes qui perçoivent une aide dont un des objectifs est de lutter contre la pauvreté.
Selon l’indicateur de pauvreté monétaire un individu ou un ménage est considéré comme pauvre quand son niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté. Ce seuil est fixé à 50 % du niveau de vie médian en France (médian= on coupe la pop en deux autant gagne moins autant gagne plus). En Europe le seuil est à 60 %.
Définir la pauvreté est donc une question de norme et d’études statistiques puisque le taux de pauvreté peut varier du simple au double.
La précarité : Elle se défini comme un état d’instabilité, de fragilité, d’insécurité touchant plusieurs domaines élémentaires l’emploi, logement, famille, de la vie d’un individu ou d’un ménage et qui risque de l’amener à l’exclusion.
L’exclusion : c’est un processus qui prive l’individu ou un groupe de reconnaissance social et nie son identité sociale. On distingue trois étapes pour comprendre l’exclusion :
La fragilité (ce sont des personnes qui bénéficie de manière ponctuelle d’une aide sociale).
La dépendance sans aide de travailleurs sociaux et de l’état, ces personnes ne pourraient pas s’en sortir. Les personnes refuse toute assistance, elles sont alors marginales est exclu de la société.