Cerveau apprenant
1) La crédibilité du texte.
Tout d'abord l'auteur pour justifier son hypothèse concernant l'universalité de l'apprentissage nous invite à regarder deux images qui ont pour but de nous « piéger ». L'image d'Obama d'abord, la pyramide ensuite. Nous faisons tous les mêmes erreurs ce qui à priori accrédite son idée.
De plus, il fait allusion au prix Nobel adressé à David Hubel et Torsten Wiesel car ils ont fait le lien entre le traitement visuel et le cortex visuel primaire. Lorsque l'on lit le passage « du patchwork au tout cohérent » , justifier l'importance du cortex visuel, c'est mieux.
Enfin plusieurs fois, l'auteur va citer des sources scientifiques ainsi que le travail de chercheurs.
« Les recherches actuelles indiquent que les cellules des aires supérieurs... » , « certains chercheurs pensent que la synchronie de décharges serait une condition... » et « les expériences de psychologies montrent... » . L'auteur se justifie même auprès de « magiciens, illusionnistes et certains peintres » dans le travail parle plus au lecteur que celui de chercheurs scientifiques sans doute plus compliqué à comprendre pour un lecteur non initié. 2) Plan du texte et idées développés.
Partie 1 : Introduction
La vision est une fonction simple sous tendu par une machine complexe. Y est abordé l'importance de la mémoire dans le processus d'apprentissage visuelle, la période sensible-critique de cet apprentissage ainsi que l'importance de l’interaction avec l’environnement. L'hypothèse principale de ce paragraphe est sans doute l'universalité de l'acquisition visuelle. Nous apprenons tous à voir de la même manière. Le contre-exemple de cette hypothèse est le cas d'un individu aveugle qui n'apprenant pas les choses de la même manière qu'un voyant ne saura pas « voir » par la suite, la plasticité du cerveau étant mis en cause.
Partie 2 : Une rétine, trois fonctions visuelles
Ici , nous parlons d'anatomie de la rétine en faisant