Vente du luxe

« Le luxe a une valeur sociétale. »

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Luxe moderne : né au E-U à la fin du 19s, principalement dominé par le créateur et les innovations en matière de développement

Codes et politesse :

Les codes et la politesse, le général et le particulier, la personnalisation du service, et la mise en valeur d’une marque. Le savoir vivre et le savoir être vers un savoir vendre.
Les cours royales on toujours été organisées par des règlement qui assignent à chacun sa place, ses droits mais aussi ses fonction de « domestique » de la famille royale
L’étiquette sera renforcée sous les règnes de HENRI III et de LOUIS XIV. Ils dont partie des usages de cour et la révolution fera se creuser le clivage, entre initiés et non-initiés. Issue de l’étiquette de la cour et des codes « légaux » de ventes, la vente dans le luxe répond à des obligations de postures et d’habitudes auxquelles la clientèle est habituée depuis des siècles. Les français tiennent à cet héritage qui nus vient de la renaissance.
Ces bonnes pratiques et ces savoir-faire sont des secrets d’initiés, et il est légitime pour la clientèle du luxe que les vendeurs soient au fait de ces codes et rompus à leurs usages :
Discrétion sur le nom des clients, reconnaissance immédiate des VIP (et non VIP), sourire discret et non complice, accueil respectueux et chaleureux mais pas effusif…
Simplicité distance et pas de familiarité, conseils a propos… La liste est longue mais aussi évolutive selon le lien qui se tisse avec le client.
Les marques n’ont jamais autant communiqué sur leur expertise, leur savoir-faire ou leur capacité créative et émotionnelle : les fondamentaux du luxe classique sont nettement réaffirmés ainsi que ceux du luxe ostentatoire. Le luxe utilise des codes propres pour se différencier de la grande consommation pour s’en éloigner symboliquement en jouant sur les lieux, les symboles, les icones d’exception, les références artistiques et