« Ce qu’on appelle échec, ce n’est pas la chute, mais bien le fait de ne pas se relever. »
Zoé
5F Dissertation française « Ce qu’on appelle échec, ce n’est pas la chute, mais bien le fait de ne pas se relever. » (Mary PICKFORD)
Tout être humain, dans sa vie, rencontre des obstacles et doit les affronter. L’évolution de notre monde s’est faite grâce aux chutes de nos ancêtres sans lesquelles on n’aurait pu avancer et être là où on en est aujourd’hui. C’est le cas dans tous les domaines, aussi bien en médecine, pour, par exemple, trouver des vaccins. Sans les échecs des savants de l’époque, ceux d’aujourd’hui n’auraient pas trouvé les vaccins que l’on connait contre toutes sortes de maladies. C’est aussi le cas en politique, sans les erreurs de nos anciens rois ou ministres, le roi et les ministres d’aujourd’hui n’auraient pas la possibilité de ne pas faire les mêmes erreurs que dans le passé et ainsi d’éviter de rechuter. Les échecs sont source de toute connaissance sur Terre. Comparable à des leviers, c’est eux qui ont permis l’existence des plus brillantes découvertes pour l’humanité telle que l’imprimerie. Qui aurait cru que Gutenberg arriverait à ses fins ? Personne. Il est donc utile de rencontrer des échecs dans sa vie pour pouvoir avancer et évoluer mais il faut, évidemment, avoir le courage et la force de se relever, et dans ce cas là, ce n’est pas un échec mais une expérience de la vie.
Tout d’abord, le fait de se relever prouve que l’on veut avancer et que l’on n’abandonne pas. L’échec n’a alors plus le même poids sur nos épaules s’il nous mène à la victoire. Lors d’une révolution, le peuple qui se révolte ne doit pas abandonner et doit y croire jusqu’au bout pour y arriver. Il rencontre des obstacles sur son chemin car, une révolution n’est pas simple, mais il continue pour arriver à son but, à ce pour quoi il se révolte. Par exemple, en Libye, les citoyens se sont battus