Ce coeur qui haissait le guerre
I. Introduction
Louis Aragon est un écrivain français né en 1887 et mort en 1982. En 1920, il s’engage dans le parti communiste français. Il participe aussi au mouvement artistique qui débute dans les années 20, le surréalisme. Il s’est engagé dans la résistance autour des années 40 (dans ses textes) face à l’oppression nazie. Il participe lui-même dans la résistance dans la zone libre et publie des recueils clandestinement.
C’est le cas du recueil la Diane Française publié en 1944 qui contient le célèbre poème « La Rose et le Réséda ». Dans ce poème il fait l’éloge des résistants, il dédie d’ailleurs ce poème à quatre résistants : 2 catholiques et 2 communistes.
A propos de ce poème, je vais montrer en quoi c’est un texte engagé. Pour cela je vais montrer d’abord que ce poème fait un éloge aux résistants et que c’est un hymne à la résistance.
II. Lecture
Je vais lire le début et la fin du texte car le poème est long.
III. Développement
1. Eloge des résistants
Les résistants sont des combattants courageux avec le champ lexical du combat. Le poème nous raconte une sorte de conte d’inspiration médiéval où des chevaliers doivent sauver une princesse, nous suivons leur aventure (attaque, prison et la mort). Ce combat est celui des résistants qui veulent sauver la « belle » qui est la France occupée. Le poème est une métaphore. Les résistants sont déterminés dans leur but avec la nécessité de libérer la France occupée. L’anaphore de « fou qui » montre justement qu’ils n’ont pas cette folie de ce quereller. Les résistants ont le sens du sacrifice avec le champ lexical de la mort et de la souffrance. Ils sont indestructible qui est rendu par une métaphore avec un « raisin muscat » qui évoque le fait que les martyrs de la Résistance amène de nouveaux résistants.
2.Hymne à la résistance
L’hymne à la résistance montre leur diversité, leur différence avec le refrain « celui qui croyait, celui qui n’y croyait pas », avec aussi