Cas michelin.
Michelin est une société anonyme crée en 1889. C’est une société familiale basée à Clermont Ferrand. Cette entreprise fabrique des pneumatiques pour tous types de véhicules. Ses principaux concurrents sont Pirelli, Bridgetstone et Goodyear. Ils sont numéro 1 mondiale du secteur pneumatique poids lourds, pour engins de génies civiles et pour les avions. Cette entreprise est implantée dans 19 pays et possède plus de 74 sites de production.
I-Analyse interne.
A- Les forces du groupe.
Michelin a sut s’imposer dans le secteur du pneumatique grâce au développement du pneu radiale qui a fournit une rupture technologique. C’est grâce à sa métrise du caoutchouc que Michelin à développer une nouvel technologie comme le pneu démontable, le pneu ferroviaire et le pneu « vert » qui s’inscrit dans une logique écologique. Les brevets ont permis en 1891 et 1946 à faire de Michelin de leader du secteur avec 20% du marché soit 16,867 milliards d’euros (2ème derrière Bridgeston). En acquérant 14 marques (Kleber, Euromaster, Torus …), tous les segments du marché des pneumatiques sont couverts par Michelin, lui renforçant sa place de leader. De plus, Michelin peut légitiment se reposer sur son image de marque connue notamment par la qualité de ses produits, son avance technologique ou encore ses équipements fabriqués en internes. Michelin est bien implanté localement ce qui lui permet des répondre aux spécificités du marché. En effet, ils sont implantés dans 19 pays et disposent de 127000 employés dont 31000 en France.
Enfin Michelin s’est implanté dans les compétitions de formule 1 très médiatisées dans le monde.
B- Les faiblesses du groupe.
Michelin s’inscrit dans une politique de désindustrialisation et transfert donc ses activités dans des pays où la main d’œuvre est moins chère et où les conditions d’emplois sont moins contraignantes. Michelin fabrique donc des produits pour les rapatriés en France, ce qui pourrait nuire à son