Cas campagne vas-y 2008
Cas individuel
Communication marketing intégré
1-Quel bilan faites-vous de cette première campagne?
Le bilan que je fais de cette campagne est qu’il a été conçu pour des buts économiques avant tout. En incitant les gens à prendre soin de leur santé, l’État pourra ainsi consacrer plus de financement dans d’autres secteurs que les soins hospitalier. En donnant les outils nécessaires aux gens pour se tenir en forme, il soigne du coup leur état physique et psychologique. Des gens en santé réduisent le nombre d’absences au travail et contribuent ainsi davantage au PIB national. Bien sûr ce programme est annoncé comme étant un plan d’action gouvernemental qui présente une stratégie collective pour améliorer la qualité de vie et le bien-être de la population québécoise et, par conséquent, promouvoir un Québec en santé , ce qui est tout à leur honneur dans ce sens.
Les objectifs de la campagne, sur la qualité de vie des Québécois, touchent certains enjeux de la société actuelle, dont le mythe du corps parfait, autant chez la femme que chez l’homme. Ils espèrent réduire de 2 % le taux de prévalence de l’obésité et de 5 % de l’embonpoint chez les jeunes et les adultes d’ici 2012. Ils ont élaboré de nombreux plans d’interventions, dans différents secteurs, qui touchent des cibles d’âges différents directement ou indirectement. Ces interventions ne sont pas toutes programmées pour être à long terme, des événements d’un jour sont nombreux, ils espèrent ainsi faire passer le message du slogan, bougez plus, mangez mieux. Tout cela pour faciliter l’adoption et le maintien, à long terme, de saines habitudes alimentaires et un mode de vie physiquement actif, ainsi que de réduire la prévalence de l’obésité et des problèmes reliés au poids et leurs conséquences sur les individus et la société québécoise. Et pour terminer, ils veulent valoriser les saines habitudes de vie .
Un énorme déploiement à du être effectué à tous les niveaux pour la mise en