caprices de marriane
Argumentation :
Nous allons travailler sur un extrait du texte théâtral de Alfred de Musset
Octave prends un ton séducteur avec Marianne : « Belle Marianne » il utilise le champs lexical de la beauté dans le but de la charmer. Et il en profite pour annoncer a celle-ci que son ami ne la dérangera plus car il en aime une autre : « Le cœur de Coelio est à une autre [...] » Ce fait à l'air de l'arranger car il fait la court a celle-ci. Marriane utilise un ton ironique pour répondre a Octave et lui répond qu'elle était sur le point de tomber amoureuse de Coelio et que c'était vraiment dommage : « Quel dommage et quel grand malheur [...] », « […] voyez comme le hasard me contrarie ! », « Moi qui allais l'aimer ». Octave intrigué par ces paroles demande a Marianne de certifier ses dires : « En vérité ! » Elle continue son ironie par un « Oui » puis elle jure « Sur mon âme » en expliquant que si il avait persisté dimanche au plus tard elle aurait été sienne « ce soir ou demain matin, dimanche au plus tard, je lui appartenais ». Elle le critique au passage en disant que son amour ne pouvait pas être vrai car il avait besoin d'un interprète pour l'exprimer et le faire comprendre « il faut croire que sa passion était quelque chose comme du chinois ou de l'arabe, puisqu'il lui fallait un interprète, et qu'elle ne pouvait l'expliquer toute seule » Octave devient plus agressif car il est seulement vu comme un interprète et dit « Raillez, raillez, nous ne vous craignons plus » Il explique a Marianne qu'elle peut se plaindre, que ça ne