Candide Chapitre 3
Candide devient une partie de la guerre avec Bulgares qui est critiquée à travers tout la chapitre.
La guerre est présentée comme un comique, mais cruel spectacle. Voltaire habilement crée le sentiment de parade, en utilisant les expression élogieux, comme « beau », « leste », « brillant » et « bien ordonné ». L’effet est renfoncé par l’adverbe « si » qui souligne le grandiose de cette fête militaire.
Cependant, ce n’est pas seulement l’aspect esthétique, il y a l’accompagnement sonore : « les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambour » tous ensemble, ils créent l’harmonie bouleversée par « les canons ».
Dans ce spectacle de la guerre, les soldats sont les pions, condamné à mort. L’auteur rapport les chiffres de péris personnes avec l’approximation : « à peu près six mille », « environ neuf à dix mille », « le tout pouvait bien se montrer à une trentaine de mille âmes », sans monter émotions. Tous ces phases expriment peu s’importance accordée à la vie humaine.
Dans le passage suivant, Voltaire démontre diverses justifications de la guerre. Premièrement, c’est une justification religieuse : la religion et ses adeptes chantent Te Deum après la bataille, alors que cela soit contraire aux préceptes de la Bible.
Deuxièmement, la raison légale : « les Bulgares avaient brûlé , selon les lois du droit public ».
Et finalement, l’acte de la guerre est légitime par une référence à la cause morale : «environ neuf à dix mille coquins qui en infectaient la surface ». Les soldats, les « héros » ont réellement fait une bonne chose, ils ont aidé d’autres à vivre dans le mieux monde. La guerre a sa avantage : elle nettoie du mauvais.
Après la bataille, Candide s’enfuit au village... La scene est décrite par le champ lexical de corps torturés : «cribles de coups », « égorgées », « mamelles sanglantes », « éventrées », « à demi brûlées », « cervelles répandues », « bras et jambes coupés ». Voltaire utilise ce vocabulaire pathétique pour