Candid
Victor Hugo, Les Châtiments
L'enfant avait reçu deux balles dans la tête. Phrase portant sur un fait réel; description de la mort de l'enfant : sujet du poème
Le logis était propre, humble, paisible, honnête ; Description de la scène où se déroule l'histoire contée par le poéte : adjectifs qui complète l'état du logis => simple, sans soucis
On voyait un rameau bénit sur un portrait. Image de la bénédition, et d'un aspect religieux grâce au rameau => évocation de la mort d'une personne chère
Une vieille grand-mère était là qui pleurait. Position de l'action, et évocation d'un nouveau personnage : la maitresse du logis => la "vieille" grand mère; évocation de la tristesse
Nous le déshabillions en silence. Sa bouche, Action de deshabiller l'enfant
Pâle, s'ouvrait ; la mort noyait son oeil farouche ; Evocation de la mort : "bouche pâle", "oeil farouche", "mort"
Ses bras pendants semblaient demander des appuis. "Bras pendants" => enfant inerte, sans vie ; bras ne peuvent plus fonctionner sans une aide
Il avait dans sa poche une toupie en buis. l'appartenance d'une toupie => enfance ; en BUIS => symbole funéraire et rattaché à l'emblème àCybèle la grand mère des dieux, ici image de la grand mère
On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies. Poète suscite l'émotion, l'horreur => plaies énormes
Avez-vous vu saigner la mûre dans les haies ? Evocation de la mort de l'enfant avec "saigner", représentation de l'enfant par la mure =>sang
Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. Comparaison de son crâne comme du bois fendu
L'aïeule regarda déshabiller l'enfant, Description de la scène : on revient sur la grand mère, action de regarder
Disant : - comme il est blanc ! approchez donc la lampe. Début d'une prise de parole dialogue : blancheur de l'enfant => mort candeur innocence ; verbe à