Camus, l'étranger
Meursault, le personnage principal et narrateur, est employé de bureau Algérois et recoit un télégramme lui annonçant la mort de sa mère. Il prend l'autobus pour se rendre à l'asile de vieillards près d'Alger, à Marengo. Il se rend ensuite à la morgue, où il refuse de voir le corps de sa mère, a une conversation avec le concierge, accepte une tasse de café au lait et fume une cigarette. Le lendemain matin, le cortège se met en route vers le cimetière sous un soleil de plomb. Meursault se plaint alors de la chaleur, au lieu de s’endeuiller de la mort de sa mère. Le lendemain de l'enterrement, Meursault va se baigner et rencontre Marie, une jeune femme qui a travaillé dans son bureau. Le soir, ils vont tous deux au cinéma voir un film de Fernandel puis ils passent la nuit chez Meursault. Il ne semble pas du tout affecté par la mort de sa mère, et passe la soirée avec Marie. Le lendemain, Meursault contemple le spectacle de la rue. Il explique que, sa mère enterrée, tout redeviendrait comme avant. Le lundi, Meursault retourne au bureau. En rentrant chez lui, le soir, il rencontre le vieux Salamano et son chien, que ce dernier bat et insulte constamment. Ensuite, son voisin, Raymond Sintès, qui a une réputation de souteneur, l'invite à partager son repas dans sa chambre et lui raconte comment il s'est battu avec le frère de sa maîtresse, qu'il soupçonne de le tromper. Il l'a déjà 'punie' mais il trouve que ce n'est pas suffisant. Il médite une nouvelle vengeance et demande à Meursault de rédiger une lettre à son nom. Meursault sert de témoin à son voisin, qui à battu son amie. Raymond invite Meursault à passer la journée du dimanche près d'Alger et lui apprend qu'il a été suivi par un groupe d'arabes. Marie le alors demande en mariage, il accepte en lui disant que si elle le voulait, oui, mais que ca lui était égal. Le dimanche, Marie vient chercher Meursault. Ils partent avec Raymond. Avant de prendre l'autobus, ils remarquent un groupe