Camille
I. Ouverture des économies nationales 1. Les mesures
Pour appréhender l’ouverture d’une économie sur l’extérieur (étranger), on utilise la notion du taux d’ouverture.
Taux d’ouverture : E+I 2 PIB
E : Exportation ; I : Importation ; PIB : Produit Intérieur Brut (de richesses)
Ainsi certains pays comme le Japon peuvent avoir un fort taux d’ouverture sur l’extérieur (≈80%), d’autres beaucoup moins (EU ≈10%) (France ≈30%).
On peut également comparer les importations et les exportations, on parle alors du commerce extérieur et du solde du commerce extérieur (moins lorsqu’il y a plus d’importation que d’exportation et plus dans le cas contraire). On utilise alors la notion de taux de couverture.
Taux de couverture : Exportation *100 Importation
2. La nature des échanges
Pour évaluer la nature et l’importance des échanges commerciaux, on utilise un document qui s’appelle la balance des transactions courantes. Celle-ci se compose de la manière suivante : * Les échanges de biens et de services : Il s’agit des importations et des exportations de produit (B ou S) ; 4/5 d’échange de bien et 1/5 d’échange de service (Mondiale). * Les échanges de revenus : Ex : Des travailleurs Alsaciens qui vont travailler en Suisse, et inversement ; * Les transferts courants : Il s’agit de flux monétaire généralement sans contrepartie entre différents pays. Ex : Les fonds Européens, les gens de nationalité autre que Française qui envoient leur argent à la famille dans l’autre pays pour les aider.
3. La situation en France * Historiquement : Jusqu’au début des années 90, la France était plutôt déficitaire. De 90 à 2004, elle a connu presque 15 ans de situation excédentaire. Et depuis 2004, elle est à nouveau déficitaire. Avec un solde mois de l’ordre de 50 milliards d’€/an. * Géographiquement : La France commerce principalement avec des pays