Camara
La traversée est très longue et très sportive nous manquons plusieurs fois de tomber mais grâce au semaine d’entraînement que l’on c’était fait subir nous restons debout et nous continuons a nous battre contre le courant aléatoire de la mer et de ses vagues. La mer ne cessera jamais de m’épater.
Cette traversée longue et dangereuse se termina enfin. La dure épreuve qu’elle fut était finie. La récompense était enfin là. La sensation que j’éprouvais était encore mieux que je l’imaginais. C’était merveilleux, le bruit des vagues était amplifié. Quel bonheur!
La douceur de se bruit me fi pleurer de joie. Il fut bientôt l’heure de partir. Je ne voulais pas partir. J’étais bien ici. Mais le plaisir c’est comme les repas: mieux vau en prendre plein de petite foi que une grosse foi car on en laisse toujours. C’est cette idée qui me fi changer d’avis. Pour me consoler je m’étais mis en tête que je pourrai y retourner
Le retour était plus difficile mais moins physique que l’aller. Il fallait rester droit. C’était une partie de notre entraînement á la quel nous n’avions pas penser. C’était si dur que nous nous fîmes retourner par les vagues.
Heureusement nous avions pensé au gilet de sauvetage. La barque fut très dur á remettre mais nous arrivâmes. Quel journée, la plus belle de ma