en sachionsla cause,n ousp ouvonsc roireq ue celav ientd e ce qu'ily a quelquec hosee n luid e semblablàe ce qui a étéd ansu n autreo bjetq ue nousa vonsa imé auparavante, ncoreq ue nous ne sachionsp as ce que c'est.E t bienq uec e soitp luso rdinairemenutn ep erfectioqnu 'und éfautq, ui nousa ttirea insià I'amou;r toutefoisà, causeq uec e peutê treq uelquefois un défautc, ommee n I'exemplqeu ej 'aia pportéu, n hommes agen e se doit pas laissere ntièremenàt cette passion,a vantq ue d'avoirc onsidéréle mérited e la personnep our laquellen ous nous sentonsé mus.M ais,à causeq uen ousn e pouvonpsa sa imeré galementot usc euxe n quin ous remarquondse s méritesé gaux,j e croisq ue nouss ommess eulement obligésd e les estimeér galemente; t que,l e principabl iend e la vie étant d'avoird e I'amitiép ourq uelques-unns,o usa vonsr aisond e préférecr euxà qui nos inclinationsse crètesn ousj oignentp, ourvuq ue nousr emarquions aussie n euxd u mériteO. utreq ue,l orsquec esi nclinationsse crèteso ntl eur causee n I'esprite, t nond ansl e corps,je croisq u'ellesd oiventto ujoursê tre suivies; et la marquep rincipalqeu i les fait connaîtree,s t que cellesq ui viennendt e l'esprist ontr éciproquesc,e qui n'arrivep ass ouvenat uxa utres.
Mais les preuves que j'ai de votre affection m'assurent si fort que
I'inclinatioqnu e j'ai pour vous est réciproqueq,u 'ilf audraiqt ue je fusse entièremenint grat,e t que je manquasseà toutesl es règlesq ue je crois devoirê treo bservéese n I'amitiés, i je n'étaisp as avecb eaucoupd e zèle, etc. A la Haye,le 6 juin1 6