Bovary
Dans le texte 2, l’auteur raconte son récit en utilisant un lexique dévalorisant pour désigner le paysage : « Rochers après, ravins, stries crayeuses, chaos de pierres noires… ». On remarque que les deux auteurs na voyage pas pour les mêmes raisons. Pierre Loti participe a une mission politique, diplomatique (« ministre.. ») Alors que J.M.G Le Clézio voyagent dans le but d’un retour aux sources de sa femme Jémia dont elle s’est écarté. Elle veux franchir la « porte » qui la sépare de sa terre natale depuis trop longtemps inaccessible. L’auteur va en profiter pour réfléchir sur le monde, la société.
Il exprime le present de narration : montre que c’est un récit
Il considère le site de Carnac comme n’étant n’est pour lui qu’un tas de cailloux laissé ici pour faire parler et qui a fait beaucoup parlé de lui alors qu’il n’y avais pas grand-chose a dire. Il avoue que ce n’est pas « commun », mais affirme que les Hommes ont une fâcheuse manie de vouloir donner une explication, une utilité à toute chose même si il n’y en a pas besoins. Le registre dominant est le registre ironique car il utilise des comparaisons amusante : « il est vrai qu’on ne rencontre pas tous les jours, des promenades aussi rocailleuses » ou encore il compare l’Homme a des êtres débiles : « yeux naïfs, bipède sans plumes…