Bouddhisme
Introduction
Quand le bouddhisme arrive-t-il en Chine ?
Version 1 : début de la dynastie des Shih
Un groupe de moins bouddhistes dirigé par Sramana, arrivèrent, avec eux, grand nombre de soutras, à la capitale de la Dynastie des Qin dont l’empereur Qin Shihuangdi ne leur accorda pas d’avis favorable et les jeta en prison. Les prisonniers moines furent libérés le soir même par un homme en or, grand de 16 lieux. La version apparut pour la première fois en 597 dans un ouvrage intitulé Lidai sonbao ji.
Version 2
L’empereur Ming (58-75) de la dynastie Han aurait rêvé, en l’année 64, de l’arrivée d’un personnage en or. Il apprit qu’il s’agissait d’un bouddha et lui accorda la diffusion des soutras bouddhiques. La version fut noté dans, un écrit avant le 3e siècle. Soutras en Pali veut dire « les perles reliées par un fil ». Ce sont des paroles du Bouddha et recueillies par ses disciples. Ce sont en fait des textes sacrés bouddhistes. Jing veut dire : un travail fondamental sur un tissu de soie. Ce mot date de 6000 ans et a été utilisé pour traduire le terme de « soutra ».
Version 3
Wei Shou (506 – 572), nota dans son ouvrage Shilaozhi (biographies des bouddhas), que Zhang Qian… (voir diapo)
Dans l’ouest de la Chine, une route est nommée la route de la soie. Cette route permet d’aller vers l’ouest, en passant par la mer Morte, jusqu’en Grèce. La première capitale de Chine est appelée Qin.
Version 4
En 120, le général Huo Qubing obtint, suite à une victoire militaire, à l’ouest de la Chine, à Kara-nor, une statue en or considérée comme un objet rituel (statue d’un temple bouddhisme) pour la cérémonie au ciel. L’empereur Wudi (140-87) de la dynastie des Han présidait une cérémonie devant cette statue grande d’une dizaine de lieux, non par les offrandes d’animaux, mais avec l’encens.
Version 5
Une légende apparut depuis le 5e siècle qui racontait que l’académicien Liu Xiang (80-8 avant notre ère), auteur des Annales des