Bordeaux , une ville fleurissante
Aujourd’hui, il traite environ 9 millions de tonnes de marchandises par an, soit l’équivalent de 400 00 camions qui n’ont donc pas à emprunter les routes du Sud-Ouest.
Les principaux axes de sa stratégie concernent le maintien prioritaire des accès nautiques et l’amélioration continue du traitement des marchandises. A Bassens (développement des trafics de vrac en poursuivant l’ouverture de l’exploitation aux capitaux privés et en visant la certification qualité/environnement de leur traitement). A Ambès (renforcement du site comme pôle pétrochimiquemajeur du Sud-Ouest). Au Verdon (développement du terminal conteneurs, création d’un terminal méthanier confortant son rôle dans le domaine énergétique). Ils concernent également l’amélioration de la rentabilité de l’Etablissement) et la mise en œuvre d’une politique environnementale exigeante.
Pour ce qui est de la politique commerciale et du développement, le rôle du Port s’inscrit dans une expertise en montage de projets confortant le rôle des opérateurs privés, plus légitimes pour assurer le contact direct avec les clients chargeurs et consommateurs. En ce domaine, un des succès les plus récents est donné par le groupe Lafarge Ciments qui a construit une unité de broyage de laitier à Bassens. Elle génère un trafic maritime potentiel de 300 000 t/an et utilise la voie ferroviaire pour l’expédition vers la région toulousaine de sa production.
Recentrée sur son cœur de métier (aménagement portuaire, industriel et logistique), la politique foncière du Port de Bordeaux préserve son patrimoine productif tout en le mariant harmonieusement à la gestion des espaces naturels. Une ligne de conduite qui a guidé les négociations, avec le Conseil Général de Charente Maritime et le Conservatoire du Littoral pour leur transférer la gestion des