Bonjoursiteweb
Et merci pour le service rendu !
Veuillez croire, assurément,
Que lire, j’aime, et écrire aussi.
Ainsi, cette prose, aussi petite
Soit-elle, est un petit pas
Vers plus de choix pour
Vos utilisateurs.
Ce poème en prose est avant
Tout écrit pour montrer
Que même sans talent patent
Il est possible de ce lancer
De rêver, et de penser.
Or ce sage comportement, justement,
Ne se retrouve guère ces jours-ci, alors que naguère,
Il l’était. C’est un fait, un vrai.
Tandis que le nénuphard reçoit un visite
De la libellule pristine, la lune monte rousse, brillante,
Dans ce ciel blafard de fin d’été.
Quelle sage atmosphère, propice à la lecture,
Et qui comble de joie la poétesse qui trésaille
En comprenant le tranquille balencement des roseaux.
Et que l’écrivain, lui, tout étonné de voir les vers de
Sa prose ainsi s’allonger, se prend à rêver de devenir grand
Poète, ou romancier. Mais il ne sera ni l’un ni l’autre, car, ici
Il s’arrête, net. Et compte : cent soixante quatre. Moins de cent et
C’est dans la poche, sa prose en sera finie, et le site ouvert à lui.
Pour ne pas mériter les vils quolibet que d’autres voudraient tantôt
Proférer, comprenant la stratégie, pathétique certes, mais pas apathique, pour lire des mémoires et autres pensées, il réfléchit une dernière fois, jubile presque alors que la fin s’approche pour de bon, et, enfin, afute sa plûme pour son dernier mot, qu’il pense être le plus beau : merci