Bonheur ? ah bon
Moins on en sait, mieux on se porte. Ce maxime qui remonte à la création même de notre monde telle qu’on le connaît établit un lien entre 2 concepts qui ont toujours une importance très évaluable dans nos multiples sociétés. Il ya d’abord la connaissance, puis il y a aussi la souffrance. Ce sont des concepts tout aussi éternels qu’universelles. Se trouve t-il un lien entre les deux ? La connaissance mène t-elle toujours a la souffrance ?
Mieux encore, peut-on accéder à la connaissance sans souffrir ? Je suis d’avis que oui, absolument ! Il est impossible d’acquérir la connaissance sans souffrir au moins un peu.
Définissons d’abord les concepts de la bonne façon. Le mot connaissance selon le petit
Larousse 2010, la connaissance se limite à ceci : >.
Hors, il est très facile de connaitre quelque chose, qu’on ne connaît pas. Parfois même on connaît des choses qui n’existe pas, sans parler des phénomènes inexpliqué mais connu par plusieurs ! C’est donc une définition trop restreinte. On dira donc plutôt que la connaissance c’est le fait d’être informé par rapport à quelque chose ou quelqu’un.
Voyons maintenant celle de l’autre concept, la souffrance c’est : >. Cette définition est acceptable, même philosophiquement parlant.
On ne peu pas apprendre sans souffrir. Un homme sage et avisé a dis un jour : Parsemé d’embuche sont les chemins de la vérité. Il n’aurait jamais su dire plus vrai. L’allégorie de la caverne nous l’explique même brillement. Le prisonnier qui se fait libéré de ses chaînes et qui reviendrais s’assoir souffrirai intensément a rester assis la, regarder les ombres des objets qu’il a vus jadis. Dans la république, de Platon (517a) 66 : >. La preuve parfaite étant que ses camarades assis a coté de lui qui eux n’ont jamais gouté a la connaissance dont jouît le libéré ne s’ennui pas du tout, c’est leur réalité de tout les jours depuis leur naissance même ! De plus la seul