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ont pas effondrés contrairement à ce que les années 30 avaient connu.
Un nouveau capitalisme
Les appareils de production des Etats-Unis vont devenir moins productifs, et le capitalisme va alors devoir se modifier. Les marchés vont s’ouvrir, et, progressivement, les Etats vont se libéraliser. Les pressions internationales vont rendre nécessaire cette libéralisation. La France va ainsi emprunter cette stratégie. Mais ce sont bien les Etats-Unis qui dominent le monde. Cette hégémonie a été la conséquence d’une réflexion relative à l’avenir du capitalisme américain.
Le système financier international est traversé par des crises importantes à la fin du XXe siècle, comme au début du XXIe. Les flux financiers s’accroissent énormément et rapidement ; les transactions internationales en valeurs mobilières s’accroissent, tout comme les investissements institutionnels. Les flux financiers sont si importants que les entreprises vont se financer essentiellement par l’émission d’actions. L’ensemble de ces flux a conduit à une instabilité inévitable, qui peut toutefois être relativement enrayée.
Une lutte ouvrière
Les taux de rentabilité ont diminué progressivement dès les années 1960, essentiellement en raison des coûts de production, trop importants. Les salariés s’étaient en effet regroupés en syndicats afin de revendiquer un meilleur salaire. Les conséquences de ces augmentations étant défavorables à l’économie, l’organisation du travail, mise en place au début du XXe siècle se voit remise en cause. Mais le phénomène ne s’amenuise pas pour autant, et les travailleurs adoptent un comportement qui tente à conserver les acquis. Ainsi, les ouvriers s’absentent, provoquent des grèves, et font de cette manière chuter la productivité. Avec le changement de mentalité et la prise de conscience, viennent les préoccupations environnementales, qui alourdissent également les frais des