Blabla
Une des causes possibles du diabète de type 2 :
Q1:
Dans l'expérience 1 on isole des membranes plasmiques de cellule de foie dans un milieux riche en insuline. On mesure ensuite la quantité d'insuline fixée sur les protéines des membranes.
D'après le graphique, on observe que la quantité d'insuline fixée sur les protéines des membranes augmente fortement pour les souris normales. En effet elle passe de 0 à plus de 20 x10^-12 mol/mg en environ 20min.
Pour les souris obèses, cette quantité augmente faiblement : elle passe de 0 à 5 10^-12mol/mg en 20min
On constate que pour les souris obèses le taux d'insuline présent sur les protéines des membranes est inférieur à la normal. On en déduit que la souris obèse a une déficience des cellules béta qui entraîne un déficit de la sécrétion d'insuline et donc une baisse de la quantité d'insuline dans les protéines des membranes.
Dans l'expérience 2 on mesure la quantité de glucose importé et le pourcentage d'enzyme catalysant la synthèse du glycogène dans les cellules mus(culaires (en présence d'une quantité croissante d'insuline).
On observe dans le premier graphique que le taux de transport cellulaire de glucose pour la souris normale augmente fortement : on passe de 1,5 à 5 nmol/mg de tissu pour une augmentation de concentration d'insuline de 0 à 33 nM.
Pour la souris obèse, le taux de transport cellulaire de glucose augmente mais moins rapidement par rapport à la souris normale. En effet ce taux passe de 1 à moins de 4 nmol/mg de tissu pour la même augmentation d'insuline.
Parallèlement, le pourcentage de la forme active de glycogène synthéthase augmente fortement pour la souris normale : on passe de environ 30% à 100%. Quant à la souris obèse, ce pourcentage augmente faiblement : on passe de environ 45 à 60%.
Pour la souris obèse On peut interpréter cette faible augmentation du pourcentage de la forme active de glycogène synthase et du taux de transport cellulaire de glucose