Biographie Joël Dicker
Sa famille est originaire de France et de Russie.
Il effectuera toute sa scolarité à Genève. A l’âge de 19 ans, très peu intéressé par un cursus classique, il s’offre une parenthèse au Cours Florent à Paris, avant d’étudier finalement le droit à l’université de Genève, d’où il sortira diplômé en 2010.
Joël est passionné depuis son plus jeune âge par la musique et l’écriture. A l’âge de 10 ans il fonde La Gazette des Animaux, une revue sur la nature qu’il dirigera pendant sept ans et qui lui vaudra de recevoir le Prix Cunéo pour la protection de la nature et d’être désigné « plus jeune rédacteur en chef de Suisse » par la Tribune de Genève.
Il écrit une première nouvelle, Le Tigre, primée en 2005 dans le cadre du Prix International des jeunes auteurs et publiée dans le recueil des lauréats, aux éditions de l’Hèbe.
Après quelques essais, il écrit Les derniers jours de nos pères, un roman racontant l’histoire véritable et méconnue du SOE (Special Operations Executive), une branche des services secrets britanniques ayant opéré durant la 2nd guerre mondiale. L’auteur peine à trouver un éditeur et décide alors de ranger son manuscrit au fond d’un tiroir. Mais courant 2010, il soumet son œuvre au Prix des écrivains genevois et, à sa grande surprise, reçoit le prix en décembre 2010. Il est alors contacté par une grande maison d’édition et voit son roman publié début janvier 2012.
Joël rêve, depuis avoir achevé en 2010 l’écriture de son roman, d’en écrire un nouveau plus contemporain. Ecrire un roman « américain », long et haletant. Il reprend chacun des retours qu’il a eu pour son premier roman et décide de retravailler son style.
Joël connait bien l’Amérique : durant son enfance il passa tous ses étés en Nouvelle-Angleterre (région situé au Nord-Est des Etats-Unis) et a beaucoup sillonné le canada et les USA.
Après deux ans de travail acharné, le manuscrit de 670 pages