Bergson

2074 mots 9 pages
Bergson, L’Evolution créatrice :
La diff. Entre le langage humain et animal est ici le sujet sur lequel Bergson s’interroge. Il s’interroge sur ce qui les rend dissemblables. Le fait que leur organisation dans leur espace soit complètement diff. Le langage est parfaitement lié à la relation avec les autres puisque c’est une forme de communication, donc nous pouvons supposer qu’ici c’est un problème de communication dont il est question. Les H penseraient + que les animaux.
Bergson commence par s’intéresser au langage animal : les fourmis. Il met d’abord en doute qu’il s’agisse vraiment d’un langage car il emploie « si ». Il parle ensuite des signes qui sont la composition de ce langage : donc il lui admet cette propriété structurelle. Selon lui, les deux critères du langage sont premièrement la fixité du nombre de signes, puis de ce à quoi ils se rattachent. Car pour lui ils sont définitivement reliés à une idée, que ce soit une action ou une chose du monde matériel qui les entoure. Donc les animaux auraient une difficulté d’adaptation de leur langage, et donc de leur pensée qui serait très lente et difficile, pour ne pas dire impossible voire inexistante. Ensuite, le texte se penche vers le langage humain : il semble y avoir immédiatement une différence qui s’impose, d’où le « au contraire » ; car on ne peut définir le langage humain de la même façon que l’on vient de faire pour le langage animal… On part de la société (humaine), qui détermine une bonne partie du langage puisqu’il s’agit de la communication aux autres. Donc cette société est remarquée comme très libre, dans le sens où les occupations variées qu’on peut y faire peuvent être extrêmement contrastées, du fait qu’il n’y a pas de structure bien précise dans la société humaine. C’est là la première différence, mais elle ne concerne pas encore le langage ; cependant elle va entraîner la différence entre les langages. La question de l’ignorance est ensuite à nouveau traitée : l’adaptation à

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