Dans Les deux sources de la morale et de la religion, Bergson porte réflexion sur la morale qui l'amène à discuter de problème sociologiques. Par exemple, ceux chez les hommes dû au changement de système de production dans les entreprises et industries. Il est principalement question du progrès qui engendre des répercutions sur le développement culturel de l'être humain. Le progrès est ici identifier par le machinisme, un emploie intensif de machine dans le domaine de la production industrielle qui remplace le travail habituellement effectué par l'homme. Est il alors le responsable du changement de rapport entre l'ouvrier et la culture ? De ce fait, il est alors également question de se demander si le repos du à ce progrès mène à la connaissance ou au contraire s'il l'éloigne de l'esprit. Dans une premier temps, il met en lumière la domination de la machine sur la main d'oeuvre à cause de son utilisation. Ensuite il identifie le caractère uniforme des productions qui est du au machinisme, ce qui amène à renier l'artistique et la culture. Pour finir il s'occupe de montrer que l'artificiel et le matérialisme pousse l'être humain à se fondre dans la masse.
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Dans un premier temps, l'auteur résume le procès habituel qui est fait au machinisme, il parle du fait que l'homme est réduit à l'état de robot, « de machine » dans ce concept là. Ce système consiste à remplacer le travail de l'homme par la machine. Il désigne aussi l'emploi des machines dans la vie, dans l'industrie. L'automatisation du travail fait de sorte que l'ouvrier se contraint à une adaptation. Il doit adapter son rythme auquel il travail habituellement au rythme difficile de la machine. De ce fait, l'homme n'a plus de contrôle sur la machine, c'est la machine qui possède un contrôle sur l'homme et donc contrôle la production. Il se fond alors dans l'automatisation et la mise en série. Cependant il reste quand même moins performant et donc moins indispensable que la machine.