Benidorm
Benidorm, une ville touristique de la communauté valencienne, située dans la province d'Alicante, est le parfait exemple de l’impact du tourisme sur l’environnement. En 1956, suite à un véritable traumatisme par un de mauvais rendements dans le domaine de la pêche. La municipalité de Benidorm approuva un plan d'urbanisme dans le but de créer une ville conçue pour le tourisme, en créant des rues tracées au cordeau suivant le tracé des plages. A partir de ce moment, elle a vu on assista à une fort déplacement des activités traditionnelles (pêche et agriculture) vers le secteur du tourisme qui devint alors à la base de la prospérité de la ville. Le tourisme espagnol commença à partager l'espace avec les voyageurs venus d'autres pays d'Europe, d'abord avec leurs propres véhicules, ensuite, avec l'ouverture de l'aéroport de l'Altet en 1967, au moyen de vols charter. Actuellement, Benidorm est une des premières villes touristiques de tout le pourtour méditerranéen. Cependant, Antre du béton et bastion d'un tourisme éco-irresponsable, la station balnéaire de Benidorm est à l'origine d'un désastre écologique qui mériterait d'être davantage médiatisé. Peu de vélos ni de voitures « propres », pas de panneaux solaires, pas d’éoliennes dans cette métropole alicantaise, personnifie la démesure, le clinquant et le développement non-durable. Benidorm est certes une ville remplit de personnes aimant faire la fête, mais elle a aussi tout les inconvenants pour faire une crise d’apoplexie aux défenseurs de l’environnement. Ressemblant fortement à un tourisme aux forts accents ibiziens, recouvert de béton, des gâchis, de l’impossible verdissement et du paraître au détriment des êtres, ainsi que des ampoules ordinaires éclairent ses innombrables buildings en permanence, les économies d’énergie ne faisant pas partie de l’effort collectif. Benidorm n’a aucune politique de gestion des