Baudelaire
C’est bon , c’est décidé. Je pars. Une contrée lointaine ne peut fair de mal a personne. Il va falloir maintenant expliquer tout cela a Catarina. Tiens, la voila qui arrive.
- Catarina ...
- Oui steph ? Si’l te plait tu peux mettre le pain dans la viennoise ?
Elle ne comprendras pas. Voudras t’elle me laisser partir loin d’elle et des enfants ?Je ne sais pas. Peut etre que je n’ai pas le courage de la laisser penser que je ne l’aime plus.
- Non Elisabeth ! Non ! J’ y vais ! Va te laver tu ne sens pas la jacinthe ...
Elle a failli ... Failli découvir...Quelq’un a toquer a la porte. - Oui Mr le Maire ? Que voulez vous ? - Oh , mon cher , une bonne nouvelle ... - Venez boir un thé dans la salle, entrez, entrez.
Il reste une place chez le capitaine. Voila le texte qu’il a tenu ;puis il est parti.J’ai des doutes. N’est ce pas un peu mal organisé ? Toutes manieres je n’ai pas le choix...Je n’ais plus le choix...C’est ou le voyage américain, ou la rue et je n’ai aucine envie de voir catarina et mes filles, mes fils,et toutes ma famille dans la rue. La maison devient de plus en plus vielle. Je n’arrive plus a supporter cet endroit clos et gris. Je vais me promener. - Ou tu vas papa ? - Je vais me promener a la riviere. - Dis papa je peux venir avec toi ? - Non - Si’l te plait ! - Bon daccord. Allez enfile un manteau et vient vite Marie dort encore alors ne fait pas de bruit.
Nous partons. Elisabeth me regarde dans les yeux. Elle est tellement belle, intelligente et généreuse. - Papa - Oui ma rose ? - A quoi tu pense ? - oh !A tellement de choses... - Si je te dis mon secret tu me dit le tien ? - Qui t’as dit que j’avais un secret ? - Tu es tellement pensif, trop préoccupé. Tu sais papa j’ai entendu ta discussion avec le maire.
Elle a deviné. Je suis perdu. La colere m’envahit et la haine