Notre présence sur terre suscite de multiples interrogations: Comment sommes-nous arrivés ici? Pourquoi Dieu nous a-t-il choisit pour y faire partie? Qu’arrivera-t-il après notre mort? La vie regorge de ces nombreuses questions existentielles auxquelles nous ne sommes pas en mesure de répondre de façon exacte et prouvée. Concernant la question de la mort, nous sommes de parfaits inconnus; nous l’a craignons terriblement. La mort est sans aucun doute l’ennemie juré de l’espèce humaine. Pourtant, selon Charles Baudelaire, ce célèbre poète français du 19e siècle, la mort peut au contraire, être un plaidoyer en faveur de la justice universelle, comme en témoigne son poème « La mort des Pauvres ». À travers son œuvre, il a su faire transparaitre son opinion en y tissant des liens entre le mal et la beauté de la mort. En effet, la délivrance aux souffrances, ainsi que l’espoir d’une vie meilleure le prouve. (148 mots) En premier lieux, « La mort des pauvres » est un poème où l’ont y retrouve le thème principal de la mort sous ses côtés favorables. Tout d’abord, il faut souligner le fait que la mort peut être considérée comme une justice rendue aux plus démunis. Lorsque la vie prive des individus de leurs besoins fondamentaux tels que de manger, de boire ou même d’avoir un toit pour dormir, il est logique de croire que leur existence sur terre est tout à fait lamentable. Baudelaire prétend que si ces individus vivent de façon misérable sur terre, alors la mort leurs rendra justice :

« A travers la tempête, et la neige, et le givre,
C'est la clarté vibrante à notre horizon noir »
Les termes « la tempête », « la neige », et « le givre » entrainent le lecteur dans l’atmosphère sombre et maussade de la vie réelle des pauvres. « La clarté vibrante », signifiant le décès, cette lumière au bout du tunnel, vient ensuite produire un contraste en s’y opposant. Baudelaire en conclu donc que la mort signifie la fin de la souffrance, cet horizon noir qu’est leur vie.