Base de l'entrainement sportif
I / Historique de la méthodologie de l’entrainement
1016, Matveiev, dans un ouvrage « Base de l’entrainement », nous dit que la période d’entrainement en compétition est de 2 à 3 semaines.
1917, Kotov, propose un entrainement continu qu’il va diviser en 3 périodes, générale, préparatoire et spécifique.
1920, 1930, Pinkala donne un certain nombre de principe de l’entrainement basé sur l’alternance travail, repos.
Vers 1930, Osolin introduit la notion d’entrainement distribué sur toute l’année. Etre opérationnel sur plusieurs disciplines.
1940, Gerschler, entraineur de Harmik, met en place des méthodes d’entrainement qui s’étalent sur 5 périodes.
En Angleterre il y a un équivalent, Dyson, on constate que le principe de périodisation progresse et arrive en France dans les années 60.
Fin des années 50, Letunow prend en compte le progrès sportif pour mettre en place une planification.
1968, JO en altitude, la performance en altitude n’est pas la même qu’au niveau de la mer.
A partir des années 70, une influence successive des scientifiques et aussi des entraineurs d’origines divers.
C’est grâce à Matveiev qu’on a une structuration sportive en période, en cycle.
Matveiev est critiqué par Tschiene qui pose le problème des sports collectifs en insistant sur la brièveté de la période de préparation et augmentation rapide des charges d’entrainement en intensité.
Pour Verchoschanski, en 1985, l’unité centrale d’entrainement n’est plus le microcycle mais une période plus longue, 3 à 5 mois. Il préconise pour athlète de haut niveau, qu’il vaut mieux une concentration des charges d’entrainement ainsi qu’une structuration du travail par cycle en fonction du calendrier de la compétition.
Actuellement, il est extrêmement difficile de planifier, pour certain pays, à cause des clubs.
Microcycle, série d’entrainement d’une semaine.
Mésocycle, série d’entrainement sur 2 à 3 semaines.
Macrocycle, composé