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La CGPME (confédération générale du patronat des PME) a appelé les patrons à manifester le lundi 1 décembre pour dénoncer toutes les taxes, les charges, les contraintes et les sanctions que l’Etat impose aux entreprises et qui selon les patrons ces taxes les empêchent de se développer. UPA va adresser une lettre ouverte à François Hollande et le Medef (Mouvement des entreprises de France) s'attaque à la mobilisation via les réseaux sociaux avec une campagne "libérons l'entreprise", et lance des réunions de militants.
Pourquoi cette manifestation ? Ce lundi y avait des milliers de patrons à manifester (ce qui rare) contre l’étouffement des entreprises à cause de toutes les taxes et contraintes que le gouvernement leur impose. En effet, Pierre Gattaz le président du Medef a annoncé que la fiscalité des entreprises a augmenté de 42 milliards d’euros depuis 2010 jusqu’à 2015 car les taxes n’ont pas cessé d’augmenter. Un pacte de responsabilité avait été signé pour la basse des charges mais cependant cela n’a pas suffi. Le président du Medef appelle donc à baisser ces taxes car cela asphyxie les entreprises de plus que la situation économique actuelle est très difficile. Ils veulent donc une vraie baisse des charges et aussi ils souhaitent que le gouvernement revoie le temps partiel qui est fixé à au moins 24 heures par semaine. Le président de la CGPME dit que le temps partiel à au moins 24 heures par semaine ne peut pas être appliqué dans toutes les entreprises.
Les demandes des syndicats Premièrement, les syndicats ne veulent pas de la pénibilité (qui va rentrer en vigueur début 2016) car ils estiment que c’est inapplicable dans l’état car il faudrait contrôler toutes les taches pénibles de chaque employé ce qui est impossible. La pénibilité c’est le fait de mesurer dans une entreprise tous ce qui gêne le salarié (les bruits etc.) ce qui prend beaucoup de temps. Deuxièmement, l'obligation à compter du 1er janvier 2015 de faire