« Se faire un programme de révisions afin de bien s’organiser et de ne rien oublier. Histoire d’arriver aux épreuves en étant sûr de ne pas avoir fait d’impasses. » (Thibaud, mention TB au bac S).

« Ne pas se reposer sur vos acquis d’il y a 6 mois. Ce n’est pas parce que vous avez eu une super note à votre devoir sur la guerre froide au mois de janvier, qu’il est inutile de réviser ce cours. » (Donatienne, mention B au bac ES).

Leïla « Une bonne astuce et qui peut faire la différence dans une copie, est d’apporter des éléments qui n’auraient pas été vus en cours : en histoire-géo ou en philo par exemple. Cela montre que vous avez approfondi le sujet par vous-même. Bien sûr, cela demande d’anticiper et de travailler un peu plus, mais ça paye à tous les coups. » (Leïla, mention B au bac ES)

« Pour les mathématiques, il faut connaître son cours avec les formules sur le bout des doigts et être capable de refaire seul tous les exercices du cours. » (Thibaud)

« Pour les langues vivantes, le seul moyen efficace reste l’immersion... Après ce n’est pas forcément facile d’ici le bac. Mais pour ceux qui ont de grosses lacunes, je conseille d’apprendre par cœur des formules et des tournures de phrases, comme s’il s’agissait de formules de maths, et d’essayer d’en ressortir un maximum dans leur copie. » (Emmanuelle, mention B au bac S)
La dernière semaine avant le bac : bachoter ou pas, that is the question ?
Joséphine « Mon truc a toujours été la révision de dernière minute histoire d’avoir des infos fraîches en tête. Pour moi, tout se jouait dans le réapprentissage par cœur les quatre derniers jours. Mais bien sûr, cela ne fonctionne que si l’on a déjà bien travaillé et intégré ses cours pendant l’année... » (Joséphine, mention TB au bac L)

François « Je ne suis pas très favorable au bachotage de dernière minute. Je trouve qu’après une dernière semaine de révision intensive, il vaut mieux ne rien faire tout le week-end avant les épreuves, afin de laisser