Axe de lecture mariage de figaro acte v scène 7
Il fait des comparaisons inhabituelles entre la Comtesse et Suzanne que l’on relève dans ses paroles : « Il s’en faut que la Comtesse ai la main aussi belle ! » ; « A-t-elle ce bras ferme et rondelet ?... ». On voit aussi que Beaumarchais utilise le comique pour dénoncer l’infidélité du Comte qui veut séduire Suzanne : il trompe sa femme mais se trompe lui-même de personne. Le second mouvement du texte débute alors et introduit la question de l’amour dans le mariage. Ainsi, l’auteur parle de la tromperie en utilisant le comique car il y a un moment drôle, qui crée un décalage quand la Comtesse est surprise par certaines paroles du Comte. Elle est quelque peu naïve car elle ne s’attendait pas à ce que son mari se plaigne autant de leur mariage et …afficher plus de contenu…
». Par la suite, le Comte change d’attitude et deviens ridicule quand il se jette aux genoux de la Comtesse (qu’il prend toujours pour Suzanne) donc il continu à la séduire : « Ma beauté… ». Puis le Comte parle du fait qu’il s’ennuie dans son mariage car selon lui, il attend « plus de piquant dans les manières » ou « quelques fois un refus » de la part de sa femme. Le Comte fini par dire qu’il ressent parfois de l’indifférence au lieu du bonheur dans son couple : « de trouver la satiété où l’on recherchait le bonheur.»On remarque aussi une autre preuve du quiproquo lorsque le Comte pense s’adresser à Suzanne et dit : « En vérité Suzon ». Dans le dernier mouvement du texte, Beaumarchais parle des attentes des maris dans le couple au 18ème siècle ainsi que du rôle de la femme dans le couple à