Autrui
AUTRUI
Introduction
A. Face à face. Descartes, « L au M »
Le but d Descartes est de prouver de façon indirecte ce qui différencie autrui des animaux, c’est que, autrui pense. Il a donc une âme, il pense comme moi, un haltère ego. Le but ici est de retrouver des critères dans la communication main avec autrui qui montrent qu’il pense, et qu’il est alors une substance pensante. Du coup il faut identifier des critères qui distinguent la communication avec autrui de celle avec un animal.
- Le fait qu’autrui peut manifester une pensée et non simplement une passion.
- Manifester de l’à-propos : C’est par le langage que l’on peut être assuré d’être en présence d’autrui.
1. Le regard d’autrui. J.P Sartre
Autrui sujet fais de moi un objet il me chosifie.
On peut dire qu’autrui me chosifie et donc m’enferme dans une catégorie. Autrui me voyant agir juge mon action donc l’usage que je fais de ma liberté, donc il me juge moi. Il est donc celui par lequel je peux me penser comme objet. Autrui du coup est celui qui me juge et que je ne peux pas empêcher de me juger. Du coup la rencontre avec autrui : (Essentiellement le regard avec autrui) affecte profondément mon être. L’expression de la honte ou de la fierté requiert autrui comme condition de possibilité.
2. La pitié. J.J Rousseau
Pour Rousseau on ne peut pas prétendre que l’homme et méchant par nature comme le prétend Hobbes. En effet, par (nature, l’homme selon Rousseau possède une sorte de bien vaillance naturel à l’égard de son prochain qui est la pitié. Le rapport premier à l’autre homme n’est donc pas un rapport d’habilité mais un rapport de bien-vaillance par lequel la nature empêche l’homme de trop développer son amour propre. La pie qui apparaît donc comme une vertu naturelle et universelle. Ce qui veut dire qu’avant même la socialisation, la culture, l’homme a en lui une vertu.
3. Le visage d’autrui. Levinas
Danse texte Levinas distingue deux façons de voir