Autobiographie D Un Epouvantail
L’auteur nous parle de la soumission et de l’obéissance, être contraint à faire ce que veux l’autre, imposer son désir, vouloir bien faire ce qu’il veut, j’y consens. Il faut un développement de l’empathie pour accéder au monde de l’autre. Une dépendance aux bras de l’autre en devient une indépendance d’aujourd’hui, sans autre sans attachement, pas de développement. Il y deux sorte de dépendance affective, (mère-enfant, rencontre sexuelle, l’attachement père-enfant), la dépendance confiante (sécurisante) et la dépendance anxieuse (craindre la découverte exige que l’autre sois présent pour calmer ses angoisse). L’obéissance permet de prendre confiance en soi, la désobéissance, ne se construit pas une trajectoire existentielle, et calcul mal les risques, ce qui augmente sa probabilité d’échecs et d’accidents. Pour vivre ensemble, parler ensemble et éviter les rapports de force nous devons consentir à l’obéissance, il y a l’obéissance socialisante, crée des groupes amicaux, faire comme les autres chacun se sert de la base de sécurité à l’autre, chaque idée de l’un conforte l’autre et l’obéissance perverse, le faite d’obéir jusqu'à la transgression. La manière de raconter nos histoire structure les sentiments que chacun d’entre nous éprouve Le récit familial consolide l’affection, la rhétorique est une structure affective, des signifiants sensoriels qui entourent l’enfant, des scènes dans notre mémoire, honteuse ou fière, selon la manière dont elle vont s’arranger avec le récit de l’entourage, dans l’impossibilité de socialiser avec la tragédie, provoque une sentiment de rejet, de honte, privé du soutient sécurisant de son entourage, il est soumis à la mémoire de ce qui lui est arrive . Quand les image de l’horreur ne sont pas remanié par des récit partagé, le blessé ne pas s’en protéger, les maitriser ni les tenir a distance, alors elle reviennent et s’imposant a leur conscience. Vivre dans une famille ou dans un groupe qui accepte votre blessure vous