Au coupure
Si vous regardez un peu autour de vous, vous constaterez qu'il arrive encore que certains bricoleurs (nous ne nommerons personne!!!) oublient de débrancher leur fer à souder. Tout à ses occupations futures, on quitte sa maison le cœur en paix... pour ne retrouver à son retour qu'un monceau de décombres fumants. Ce genre de mésaventures (!!!) est profondément désagréable (pour le moins!!!), car il suffit vraiment de peu de choses pour que ce genre de catastrophe ne se produise plus.
Heureusement, dans la majorité des oublis, les évènements ne prennent pas une tournure aussi désolante, mais pourquoi se priver du plaisir de notes d'électricité (ah bon, votre fer à souder marche au gaz!!!) plus acceptables, sans compter une "remontée de bretelles" pour la nappe parsemée de décors carbonisés.
Attaquons le principe de fonctionnement du montage: IC1 est un circuit intégré contenant un oscillateur et un diviseur par 213. Il est possible d'obtenir une durée d'impulsion d'un quart d'heure approximativement. Lorsque cette durée est passée, la diode va se mettre à clignoter et le bruiteur (dans ce cas, un buzzer de TOKO) va retentir. Si on n'agit pas sur le poussoir S1 dans les 50 secondes qui sui- vent, le montage s'arrêtera tout seul, ce qui aura pour conséquence la coupure du fer à souder lui-même. Si on actionne S1, on remet une durée de 15 minutes à son crédit.
Bien que nous n'ayons pas trouvé ce défaut à notre montage expérimental, il n'est pas impossible que le relais ne colle juste au moment où la tension d'alimentation disparaît. Si tel était le cas, il faudrait ajouter un contact supplémentaire au relais, à l'aide duquel il peut être coupé pour de bon. Il faudra, dans ce cas, veiller à ce que ce contact supplémentaire soit ponté par une troisième partie de SI à la mise en fonction (donné en pointillé sur le schéma). Il est tout à fait possible d'utiliser deux poussoirs distincts pour S 1 a et S 1 b, à condition que l'on