Au bonheur des dames
I. Citations :
Moqueries :
« Pauline l’avait traitée amicalement de grande sotte, les autres se moqueraient d’elle, si elle refusait l’invitation.” P.376 “Les deux rayons, qui se touchaient, étaient en continuelle hostilité ; mais ces demoiselles s’entendaient parfois pour se moquer des gens.” P.115
Amour :
« Celui-ci sentit la caresse amoureuse de ce coup d’œil, le triomphe de la femme heureuse de sa beauté et de son art.” P.146
“Depuis la soirée de Joinville, il avait pour elle un amour soumis, une amitié presque religieuse, qu’il lui témoignait par ses regards de bon chien.” P.197
Femmes :
“Et elles s’attardèrent devant leurs tasses, les lingères en laine, d’une simplicité de petites bourgeoises, les confectionneuses en soie, la serviette au menton pour ne pas attraper de taches, pareilles à des dames qui seraient descendues manger à l’office” p.217
“Sa misère finissait, elle avait de l’argent, des robes, une belle chambre. C’était facile, on disait que toutes en arrivaient là, puisqu’une femme, à Paris, ne pouvait vivre de son travail.” P.235
Désir :
“Et les voix tombèrent, ne furent plus qu’un murmure. Des chiffres sonnaient, tout un marchandage fouettait les désirs, ces dames achetaient des dentelles à pleines mains.” P95
« Encore fut-il heureux de trouver les Lhomme, ses voisins, que le désir d’augmenter leurs terres détermina. Les soixante-dix mille francs allaient soutenir la maison pendant quelque temps encore.” P.280
Concurrence :
« Maintenant, la concurrence avait lieu sous les yeux mêmes du public, une promenade aux étalages établissait les prix, chaque magasin baissait, se contentait du plus léger bénéfice possible ;” p.96
“C’était la femme que les magasins se disputaient par la concurrence, la femme qu’ils prenaient au continuel piège de leurs occasions, après l’avoir étourdie devant leurs étalages.” P.98
Société :
« Et il flairait là le projet de quelque établissement futur,