Au bon beurre
Première partie
1- Charles –Hubert parlait beaucoup après avoir appris la défaite de la France. Il parlait à un soldat et dit : « Pourquoi qu’on n’a pas envoyé tous les juifs au front? Moi si j’étais le président c’est ce que j’aurais fait. » Charles-Hubert n’apprécie donc pas les juifs. Il trouve qu’il y en a beaucoup trop et qu’ils ne font que voler notre nourriture et notre argent. « Pourquoi ils ne sortent pas de chez eux, ils restent ici à manger et à voler l’argent des gens honnêtes. » Il ne veut rien savoir d’eux.
2- Pour ce qui est des Allemands, Charles-Hubert croit que les Allemands sont de bonnes personnes. Il pense que se sont des gens forts et qu’ils sont important durant la guerre contrairement à sa pensée sur les juifs. Dans le livre Charles-Hubert s’exprime comme suit : « Quelle discipline! La guerre ce n’est pas étonnant qu’ils l’aient gagné (…), Hitler a envoyé ses ingénieurs étudiés en France, la preuve, sa joie fut indescriptible. » Selon lui, il aurait remercié les Allemands tellement ils les admirent.
3- Commençons par les traits de caractère de Charles-Hubert, qui est un homme détestant les juifs et adorant les Allemands. Il est très comique. Dans la plupart de ses phrases, il y a quelque chose de drôle. En voici une : « Lis pas comme ça voyons, tu vas te crever les yeux. » Ses phrases et paroles sont souvent dites avec de l’emphase. Il est un homme bavard. Charles-Hubert veux paraître bien devant les autres, il aime se présenter d’une bonne façon. Il est très consciencieux de son emploi à la crèmerie avec sa femme et s’inquiète beaucoup de celui-ci.
Pour ce qui est de Julie, elle est une femme beaucoup plus sérieuse. Un homme lui fît une blague et elle lui répondit que le monde était mauvais. De plus, Henri un jour urina sur les roues du camion et Julie qui priorise ses bonnes valeurs lui dit : « mal élevé.» Elle considérait cela impoli. Julie perçoit les