Attitudes de francais face à l'occupation allemande
515 mots
3 pages
Maï,Quelle que soit la personne qui le lit, je pense qu'un beau texte fait toujours plaisir, après suis-je capable d'écrire un beau texte, je ne sais pas mais bon tant pis je me lance. Pour tout t'avouer, je ne sais pas quand nous deux ça a commencé. Sûrement en 5ème, vu que "Chacapojuma" c'était pendant la 5ème. Cette année là nous étions de simple potes je pense vu que j'en garde peu de souvenirs. Vient ensuite notre 4ème. On se retrouve dans la même classe et je passe une très bonne année avec toi, une belle amitié est en train de naître, Maïlys et Florian, Maela et Ignacio;). On apprend à se connaitre et on devient de très bon amis. Je finis ma 4ème avec une super pote en plus, c'est certain. Arrive notre année de 3ème, on se retrouve dans deux classe différentes. Cela aurait pu nous éloigner mais non. Je crois même que l'on a jamais été aussi proches. L'année a commencé tout simplement, deux très bon amis qui s'entendent bien, discutent, rigolent, tout ce qu'il y a de plus normal. Puis notre "relation" a commencé à s'intensifier. Tu me demandes de venir à l'as, de venir au ski, je viens chez toi, on se fait une journée en ville.. Nous devenons vraiment de très bons amis. La vie continue et arrive notre épisode "Nicolas". Tu veux lui faire un cadeau, je me propose de t'aider, ça te touche et tu finis par accepter. Cette petite aventure nous a bien liés, et maintenant on en est là:).Pourquoi t'écrire un texte maintenant ? Je ne sais pas, ça vient de me prendre. Je suis à ma boite de stage assis sur une chaise, au milieu d'ordis, de cables, mon maître m'a laissé et je n'ai rien à faire. La plus part des personnes que j'aime beaucoup, je leurs ai écrites un texte. Je me suis donc dit pourquoi pas Maï ? Et voilà, j'en suis là, à écrire sur une feuille lettre après lettre, mot après mot un texte, un texte pour toi.Dans la vie je montre très peu mes sentiments, autant profiter de l'écriture, qui je pense, peut être un beau moyen d'expression, pour le faire de temps